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ADSL signifie Asymmetric Digital Subscriber Line en anglais, mais la définition française est « Ligne d'abonné numérique à débit asymétrique ». La traduction officielle est : « raccordement numérique asymétrique » (RNA) ou « liaison numérique à débit asymétrique ». Le transport de données utilise des fréquences supérieures à celles d'un signal voix. Les données et le signal voix circulent simultanément sur la même ligne sans interférer (utilisation de fréquences différentes). Le principe est le même que pour le VDSL et le SDSL sauf que dans ce dernier cas, le débit montant est égal au debit descendant. Comment ça marche ? L'ADSL utilise les fils de cuivre du téléphone ordinaire, sans nécessiter la pose de nouveau câblage. Cependant, afin de séparer correctement les signaux de téléphone de ceux de l'ADSL, il est nécessaire de poser des filtres ADSL entre chaque téléphone (ou fax ou modem RTC) et sa prise murale. Pour raccorder l'ordinateur à l'ADSL, il est nécessaire d'utiliser une interface ADSL, appelée Modem. Celui-ci peut se raccorder directement à l'ordinateur, par exemple sur une prise Ethernet ou USB, être intégré à un routeur intégrant souvent une fonction WiFi, ou encore être intégré à une machine multifonction (routeur, télévision, téléphonie, etc.), comme la freebox, la livebox ou la neufbox. A quoi servent les filtres ADSL ? Pour que l'interface de raccordement à l'ADSL puisse se synchroniser, les prises téléphoniques de la maison doivent toutes être équipées d'un filtre ADSL si elles sont porteuses d'un équipement téléphonique. Les signaux ADSL dans les fréquences élevées provoquent des bruits gênants dans les téléphones analogiques. On peut les éliminer avec un filtre spécial. Ces filtres se présentent, généralement, sous la forme de prises gigogne, à placer dans la prise murale, en premier contre le mur. La présence d'un seul téléphone branché sur une prise non protégée peut empêcher l'ADSL de fonctionner. Dans les installations équipées de nombreuses prises, il peut être plus simple d'installer un filtre en tête, là où la ligne se raccorde à l'installation privative. Le dégroupage Le dégroupage permet aux opérateurs alternatifs de bénéficier d'un accès « direct » à l'utilisateur final. Ils sont en mesure de contrôler de bout en bout le réseau et de fournir ainsi un service différencié de celui de l'opérateur historique. Le dégroupage rend en particulier possible une concurrence réelle dans les offres commerciales d'ADSL et de fait une baisse des tarifs de détail. Le dégroupage concerne le haut de la bande passante de la ligne téléphonique. Suivant que le client conserve son trafic voix bas-débit ou non avec l'opérateur historique on parle de dégroupage partiel ou total Dans le cas du dégroupage total, l'opérateur historique est rémunéré directement par l'opérateur alternatif au tarif 9,50 euros HT par ligne et par mois (en France en 2005). Le client n'a plus aucune relation contractuelle et ne paie donc plus rien directement à l'opérateur historique. Il ne bénéficie plus d'aucun de ses services. Dans le cas du dégroupage partiel, le client continue d'utiliser sa ligne chez l'opérateur historique et lui paye notamment l'abonnement correspondant (14 euros TTC chez France Télécom en 2005). Et l'Adsl 2 ? L’ADSL 2+ est l'évolution de la technologie ADSL, elle exploite plus de fréquences porteuses pour les données (surtout dans les très hautes fréquences). Cela se traduit par une augmentation du débit maximal possible. Cependant, les améliorations par rapport à l'ADSL ne sont perceptibles que si l'abonné se situe à moins de 3 000 m du central téléphonique. Au-delà, les débits sont sensiblement les mêmes que ceux proposés par l'ADSL. L'ADSL 2+ permet, dans des conditions optimales, d'atteindre des débits de 25 Mbit/s en réception et 1 Mbit/s en émission. Ces débits ne sont jamais proposés, car nombre de configurations grand public ne sont absolument pas en mesure de supporter des connexions distantes de 25 Mbit/s. Il est important de noter que les offres « 20 Mégas » sont exprimées en débit ATM ce qui correspond à un débit réel maximum en IP (le protocole exploitable par la majorité des systèmes d'exploitation) de 16 Mbit/s. De plus, ce n'est qu'un débit maximal, pas souvent atteint en pratique. Cela s'explique par la distance au DSLAM. Plus celle-ci est grande, plus le débit est faible. |
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